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Des cas où des analyses ADN ont condamné ou innocenté des individus

Des cas où des analyses ADN ont condamné ou innocenté des individus

L’histoire s’est passée à Leicester, dans la ville célèbre pour avoir été celle où les techniques de tests ADN ont été mises au point. C’était en 1987 et Colin Pitchwork, un boulanger d’origine britannique a été démasqué suite à une analyse ADN. La même année, mais cette fois en Floride, un homme coupable de viol a été condamné à 22 ans d’emprisonnement après qu’un test ADN ait prouvé sa culpabilité.

Des condamnations grâce aux résultats des tests ADN

Tommie Lee Andrews, qui a violé une femme lors d’un cambriolage, est ainsi devenu la première personne aux States à avoir été condamné grâce à de telles preuves. 7 ans plus tard, soit en 1994, un homme a pu être condamné pour le meurtre de sa femme, après qu’ont été obtenus des résultats d’une analyse ADN sur des poils de chat. C’était une grande première dans les annales de la médecine légale que de se servir d’un ADN animal pour l’identification d’un criminel.

Des suspects ont été innocentés grâce à des analyses ADN

Cette fois, l’histoire s’est déroulée à Chicago et nous sommes en 1989. Un test ADN a permis de laver un homme de tout soupçon. Il s’agit de Gary Dotson qui a été le premier homme à avoir été innocenté de cette manière. Quelques années après, c’est-à-dire en 1994, ce fut au tour de O.J. Simpson d’avoir été également innocenté grâce à un test ADN. La partie était loin d’être gagnée car la défense a critiqué fortement les expertises ADN, prétendant que les échantillons trouvés étaient contaminés donc, les résultats ne pouvaient être fiables. En 2003, c’était Josiah Sutton qui a retrouvé sa liberté après 4 ans de prison sous une condamnation d’agression sexuelle, même si les échantillons ADN semblaient sérieusement contaminés.

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